De nos jours, la Gendarmerie nationale compte plus de 500 équipes cynophiles et plus de 600 chiens. Répartis entre les unités de secourisme, de recherches et d’investigations, dans nos brigades comme au GIGN – Groupe d’Intervention Gendarmerie Nationale, il est impossible d’imaginer la gendarmerie sans nos compagnons à poils. Mais que connaissez-vous de leur histoire ?
Les premiers canidés intègrent les rangs de l’institution au cours du XXe siècle. Ils assistent les gendarmes sur le terrain dans le cadre de recherches de stupéfiants, d’explosifs, et de victimes. Leurs missions sont diverses ! Leur odorat n’est pas leur seul avantage : ils permettent une présence dissuasive lors de contrôles par exemple.
Le 19 décembre 1945, le chenil central est officiellement ouvert à Gramat (Gendarmerie du LOT). Il a la capacité de dresser nos amis à quatre pâtes et de former les maîtres-chiens tout en composant les binômes. Cet établissement est, depuis, devenu le Centre national d’instruction cynophile de la gendarmerie (CNICG).
Un article à croquer, n’est-ce pas ? On sait, nos blagues ont du chien !
Source: Facebook de la Délégation au patrimoine de la gendarmerie / Crédit photo: © D.R.