3300 personnes, dont 700 radicaux, ont convergé vers l’ex-Zad de Notre-Dame-des-Landes, ce dimanche, pour manifester contre l’opération d’expulsion commencée la semaine dernière.
Des milliers d’opposants se sont rassemblés ce dimanche pour soutenir les occupants expulsés de l’ex-zad de NDDL et tenté de mener une opération de « reconstruction » .
Malgré les violences exercées par les opposants à l’encontre des forces de l’ordre, et qui ont occasionné 7 blessés supplémentaires dans les rangs de la gendarmerie dont un personnel polycriblé et deux brûlés par des cocktails Molotov, le dispositif gendarmerie a su interdire l’installation de nouvelles constructions, remplissant ainsi la mission confiée.
Plus d’une soixantaine de gendarmes ont été blessés dans l’opération d’évacuation de la ZAD, par des gens qui n’avaient aucune raison d’être là. C’est inacceptable. #MediapartLive #MacronBFMTV https://t.co/ADKDUwqLJR
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 15 avril 2018
Sur le terrain, 2 000 gendarmes étaient engagés, ainsi que de nombreux moyens concourants institutionnels (engins lanceurs d’eau de la police nationale, engins de la sécurité civile…)
Aujourd’hui, l’action de la gendarmerie doit permettre la poursuite des opérations de déblaiement du site.
Nous avons décidé de ne pas faire l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Les personnes qui occupaient illégalement la zone n’avaient donc plus de raison d’être là. Comme nous nous y étions engagés, nous rétablissons l’ordre républicain. #MediapartLive #MacronBFMTV
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 15 avril 2018
Source: GENDCOM / Crédit photo: © D.R.