Fasciné par la science-fiction et les énigmes policières, le gendarme Romain Brenne publie son sixième ouvrage en moins de deux ans, « L’or oublié de Toulouse ».

Depuis la parution de son premier roman en septembre 2017, l’imagination de Romain Brenne ne décroît pas. Cette passion, il la doit à « La nuit des temps », de René Barjavel, une lecture qui l’incite à « écrire (sa) propre histoire » et qui lui vaut aujourd’hui la réalisation de son sixième ouvrage.

L’or oublié de Toulouse

Jeanne David, éminente conservatrice au musée Saint-Raymond de Toulouse mais piètre archéologue, paye ses coûteux échecs en étant mise au placard. Elle reçoit alors un don inattendu qui la conduira à travers des lieux que les Toulousains, pourtant chauvins, ont oubliés.

La nouvelle conservatrice se rendra compte que l’histoire de Toulouse n’a rien à envier aux plus grands trésors et mystères du monde. Sa quête commence à travers la ville rose alors qu’une équipe de mercenaires, un inconnu aux moyens illimités, un serveur des arcades du Capitole, le SRPJ, des francs-maçons et d’autres prennent part à l’aventure.

Jeanne David va mettre à jour une légende de Toulouse qui fera d’elle une femme traquée.

L’auteur, gendarme et écrivain

Marié et père de deux petites filles, le maréchal des logis-chef Romain Brenne, 33 ans, officie au sein de la brigade de proximité de Plaisance-du-Touch, en Haute-Garonne. « C’est le soir, ou entre midi et deux, que j’écris, lorsque je suis seul à la maison ou que les filles dorment », explique-t-il. Son écrivain favori est Dan Brown, auteur du célèbre « Da Vinci Code ». Romain Brenne admet qu’il n’est pourtant pas un grand lecteur, à raison d’un ou deux livres par an. Mais le gendarme se consacre continuellement à l’acquisition de nouvelles connaissances, tandis que les idées foisonnent déjà « pour au moins une dizaine d’autres romans. »

En parallèle, Romain Brenne, passionné d’aéronautique, souhaite intégrer la gendarmerie des transports aériens. « Ma famille me soutient dans tous mes projets et cela me rend fort », déclare-t-il. Investi dans l’écriture d’un septième roman, Romain Brenne s’oblige donc à ralentir la cadence même si l’histoire, elle, « continue de se créer dans (sa) tête. »

Source: Gendinfo / Crédit photo: © D.R.